Nos réponses

Yoplait

Sur ses sites, notre coopérative cherche continuellement à réduire sa consommation d’énergie et l’empreinte carbone associée par l’amélioration de la performance énergétique et l’intégration de critères environnementaux dans ses choix industriels. Pour cela, nous visons à réduire de 50% l’empreinte carbone de nos usines d’ici 2030.

L’eau, une ressource essentielle pour notre activité, est en tension, menacée notamment par le dérèglement climatique et l’intensification des épisodes de sécheresse. Notre objectif est donc de réduire nos consommations de 40% entre 2019 et 2030.

Par exemple, l’usine Yoplait du Mans réduit sa consommation d’énergie en récupérant la chaleur des machines de production de froid et d’air comprimé pour chauffer l’eau chaude sanitaire utilisée dans les nettoyages. Cela représente une baisse de 6% de la consommation annuelle de gaz naturel de l’usine et une réduction de 260 tonnes de CO2.

Findus

Chez Findus, nous soutenons la pêche responsable et préservons les ressources marines ainsi que les habitats naturels des océans pour permettre aux générations futures de savourer, elles aussi, de délicieux poissons. Quand vous choisissez un poisson Findus, vous agissez pour la préservation des ressources marines.

LE MARINE STEWARDSHIP COUNCIL (MSC)

Partenaire de l’organisation internationale MSC depuis 2007, nous nous engageons à valoriser des pratiques de pêche responsables et à tout mettre en œuvre pour respecter les ressources marines et la biodiversité des océans. C’est la raison pour laquelle nos poissons portent le label MSC, ce qui vous garantit qu’ils proviennent d’une pêcherie durable et responsable qui s’assure de la pérennité des populations de poissons et qui minimise son impact environnemental pour sauvegarder la diversité de l’écosystème. En France, 100% de la gamme poisson est certifiée MSC. Ce label MSC, octroyé à l’issue de nombreux tests et évaluations, est conforme aux recommandations de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture.

L ’AQUACULTURE STEWARDSHIP COUNCIL (ASC)

Afin de répondre à l’augmentation de la demande alimentaire mondiale en produits de la mer tout en protégeant les ressources halieutiques naturelles, le poisson et les fruits de mer sont de plus en plus issus de l’élevage aquacole. Le fonctionnement de l’aquaculture peut avoir un impact direct sur l’environnement (par exemple sur la qualité de l’eau, les écosystèmes ou la diversité écologique). Par conséquent, des méthodes de travail respectueuses de l’environnement et responsables sont très importantes en aquaculture.

Chez Findus, 100% de nos poissons d’élevages sont certifiés aquaculture responsable ASC. L’ASC a été fondé en 2010 et promeut des normes pour une aquaculture qui respecte la réglementation locale, minimise son impact sur l’environnement et respecte les communautés locales.

Entremont

Entremont s’engage à réduire sa consommation d’énergie et l’empreinte carbone associée par l’amélioration de la performance énergétique et l’intégration de critères environnementaux dans ses choix industriels. Pour cela, nous visons à réduire de 50% l’empreinte carbone de nos usines d’ici 2030.

Nos fromageries ont réduit de 10% leurs consommations d’énergie depuis 2019. Cela a été possible grâce à des projets comme la mise en place de pompes à chaleur sur notre site de Montigny, ou encore l’installation d’un système de biomasse sur notre site de Guingamp.

L’eau, une ressource essentielle pour notre activité, est en tension, menacée notamment par le dérèglement climatique et l’intensification des épisodes de sécheresse. Notre objectif est donc de réduire nos consommations de 40% entre 2019 et 2030.

Beghin Say Séréline

Au travers de notre partenaire PureCircle, nous soutenons des pratiques agricoles durables. Ainsi nous apportons des conseils aux planteurs de Stévia qui sont des petits fermiers locaux de Thaïlande, d’Indonésie, de Chine, du Paraguay et du Kenya.

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LU

1. Nous appliquons une Charte Qualité et environnement exigeante

La Charte Harmony a pour objectif d’encourager la production de blé de qualité et limiter son impact sur l’environnement et la biodiversité en ne traitant qu’en cas de dernier recours. Elle est composée de pratiques exigeantes qui couvrent l’ensemble des étapes de la culture du blé (sélection des meilleures variétés de blés, choix de la parcelle selon les rotations et type de sol, implantation d’intercultures avec légumineuses…). La charte a été co-construite avec l’ensemble des acteurs de la filière blé, des experts agronomes et des ONG telles que Noé. Chaque année, la charte Harmony est revue et intègre des pratiques toujours plus exigeantes pour un blé plus respectueux de l’environnement.

2 . Nous agissons pour la Biodiversité

70% des fruits et légumes que nous mangeons dépendent des insectes pollinisateurs qui en transportant le pollen de fleur en fleur assurent leur reproduction et donc la production de la plupart des fruits (cerises, melons…) et des légumes (aubergines, haricots..).

Avec Harmony, nous participons à notre échelle, à la préservation de cette biodiversité locale : 3% de la surface des champs de blé sont dédiés à une zone fleurie : elle offre aux abeilles et papillons le pollen et le nectar dont ils ont besoin pour se nourrir.
Nous avons mis en place des indicateurs de biodiversité qui sont suivis chaque année (évolution du nombre d’abeilles domestiques et sauvages, du nombre d’espèces de papillons…) afin de s’assurer du réel impact positif des zones fleuries sur la biodiversité locale.

D’autres pratiques comme la préservation de la biodiversité au niveau du territoire (implantation de nichoirs à abeilles sauvages, d’hôtels à insectes en bordure de champs, de piquets aux alentours des parcelles…) ou des formations sur l’agroforesterie permettent de sensibiliser davantage les agriculteurs à l’intérêt de la préservation de la biodiversité.

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Nestlé Céréales Chocapic

Préserver les ressources naturelles en encourageant des pratiques agricoles plus vertueuses est un de nos enjeux prioritaires chez Nestlé Céréales.

Le blé complet étant l’ingrédient n°1 de nos gammes de céréales petit-déjeuner, c’est en amont de la filière que se situe la majorité de nos impacts environnementaux.

Préserver les sols, l’eau et la biodiversité grâce à une agriculture plus responsable est précisément au cœur de la démarche Préférence initiée en 2016. La démarche repose sur un partenariat de long terme qui engage Nestlé Céréales, les coopératives agricoles et les agriculteurs autour d’une vision partagée : un blé produit localement respectueux des Hommes et de l’environnement.

Avec la démarche Préférence, les agriculteurs partenaires sont accompagnés techniquement et financièrement pour faire évoluer leurs pratiques agricoles sur l’ensemble de leur exploitation.

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Danone

Chez Danone, nous sommes engagés depuis plus de 25 ans à préserver la ressource en eau… En collaboration avec les associations locales et les agriculteurs implantés autour de nos 4 sources d’eaux minérales naturelles Evian, Volvic, Badoit, La Salvetat, nous agissons pour préserver la pureté et la qualité de ces sources et la biodiversité environnante.

Cette même volonté est présente sur nos différents sites de production en France. En effet, nous sommes engagés à permettre la réutilisation des eaux traitées avec la démarche ReUSE. Par exemple, un pilote de traitement des eaux de process pour réutilisation dans la laiterie du Pays de Bray (Normandie) pourrait nous faire économiser près de 200 millions de litres d’eau chaque année.

 

Heineken

Notre stratégie « Brassons un Monde meilleur » inscrit le développement durable au cœur de notre stratégie de développement.

Nous nous sommes fixés des objectifs ambitieux sur les enjeux clés de la préservation des ressources en eau, de la réduction des émissions de CO2, des approvisionnements et de la consommation responsable d’alcool.

Par exemple, nous travaillons à réduire notre consommation d’eau de 30% d’ici 2020. Ainsi, en 2008, nous utilisions 7 hectolitres d’eau pour brasser 1 hectolitre. En 2019, nous n’en utilisions plus que 3,6 hectolitres… et les progrès continuent !

Nous avons allégé certaines de nos bouteilles, ce qui permet chaque année d’économiser 50 tonnes de verre et donc 40 tonnes d’émissions de CO2 en moins !

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Herta

Herta a deux usines de charcuterie en France, la première est située à Saint-Pol-sur-Ternoise dans le Pas-de-Calais et la seconde, à Illkirch en Alsace. Sur chaque site nous nous attachons à améliorer notre empreinte environnementale au travers de différentes actions. Tout d’abord, nous cherchons à rationaliser le plus possible nos consommations d’eau sur l’ensemble de nos processus de production. Par exemple, en 2016, nous avons optimisé le système de nettoyage des installations de production de saucisses de l’usine de Saint-Pol-sur-Ternoise. Ce processus permet une économie globale de 19 000 litres d’eau par jour, ce qui représente la consommation moyenne de près de 130 personnes. En 2022, nous poursuivons nos efforts avec un plan d’investissement qui permettra de réduire la consommation d’eau et d’améliorer les conditions de travail des salariés du site.

Réduire les déchets organiques et limiter les pertes est aussi devenu une de nos priorités. Nous nous attachons à limiter les pertes et à trier nos déchets notamment grâce à des partenariats nous permettant de valoriser les chutes de viande. Nous avons également optimisé notre chaîne logistique en supprimant les emballages plastiques intermédiaires en usine, en optimisant le taux de remplissage des cartons de 15% et en rationalisant les flux de transport entre les sites et les plateformes. Au total, ce sont plus de 2000 camions en moins sur les routes.

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Candia

Sur ses sites, notre coopérative cherche continuellement à réduire sa consommation d’énergie et l’empreinte carbone associée par l’amélioration de la performance énergétique et l’intégration de critères environnementaux dans ses choix industriels. Pour cela, nous visons à réduire de 50% l’empreinte carbone de nos usines d’ici 2030.

L’eau, une ressource essentielle pour notre activité, est en tension, menacée notamment par le dérèglement climatique et l’intensification des épisodes de sécheresse. Notre objectif est donc de réduire nos consommations de 40% entre 2019 et 2030. Par exemple, le site Candia de Clermont-Ferrand a mis en place des compteurs, des conductimètres et des résistivimètres permettant l’optimisation des lavages et des rinçages. En 2023, ce site a donc atteint l’objectif fixé par la coopérative pour 2030, c’est-à-dire baisser de 40% ses consommations d’eau.