Nos réponses

Danone

Chez Danone, nous sommes engagés depuis plus de 25 ans à préserver la ressource en eau… En collaboration avec les associations locales et les agriculteurs implantés autour de nos 4 sources d’eaux minérales naturelles Evian, Volvic, Badoit, La Salvetat, nous agissons pour préserver la pureté et la qualité de ces sources et la biodiversité environnante.

Cette même volonté est présente sur nos différents sites de production en France. En effet, nous sommes engagés à permettre la réutilisation des eaux traitées avec la démarche ReUSE. Par exemple, un pilote de traitement des eaux de process pour réutilisation dans la laiterie du Pays de Bray (Normandie) pourrait nous faire économiser près de 200 millions de litres d’eau chaque année.

 

Vico

Chez Vico, nous agissons à tous les niveaux pour préserver les ressources naturelles.

Nous avons réduit de 30% nos émissions de CO2 à la tonne produite (2023 vs 2010) en privilégiant les éclairages LED dans nos usines, et en réutilisant l’énergie produite lors de la cuisson de nos chips. 100% des déchets alimentaires produits sont eux aussi revalorisés, en énergie ou en nourriture pour les animaux.

A horizon 2032, nous avons pris l’engagement de réduire de 50% nos émissions de CO2 liées à nos opérations et de 30% nos émissions de CO2 liées à notre chaine d’approvisionnement.

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Candia

Sur ses sites, notre coopérative cherche continuellement à réduire sa consommation d’énergie et l’empreinte carbone associée par l’amélioration de la performance énergétique et l’intégration de critères environnementaux dans ses choix industriels. Pour cela, nous visons à réduire de 50% l’empreinte carbone de nos usines d’ici 2030.

L’eau, une ressource essentielle pour notre activité, est en tension, menacée notamment par le dérèglement climatique et l’intensification des épisodes de sécheresse. Notre objectif est donc de réduire nos consommations de 40% entre 2019 et 2030. Par exemple, le site Candia de Clermont-Ferrand a mis en place des compteurs, des conductimètres et des résistivimètres permettant l’optimisation des lavages et des rinçages. En 2023, ce site a donc atteint l’objectif fixé par la coopérative pour 2030, c’est-à-dire baisser de 40% ses consommations d’eau.

Le Chat Eco-Efficacité

Pour nous, une lessive respectueuse de l’environnement, c’est d’abord une lessive efficace.

C’est le cas de Le Chat Eco-Efficacité, pour un linge parfaitement propre dès les basses températures (dès 20°C). Egalement, Le Chat Eco-Efficacité a été certifié par l’Eco-Label européen, preuve de notre démarche d’amélioration continue pour réduire l’impact de notre lessive sur l’environnement, tout au long de son cycle de vie.

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Herta

Herta a deux usines de charcuterie en France, la première est située à Saint-Pol-sur-Ternoise dans le Pas-de-Calais et la seconde, à Illkirch en Alsace. Sur chaque site nous nous attachons à améliorer notre empreinte environnementale au travers de différentes actions. Tout d’abord, nous cherchons à rationaliser le plus possible nos consommations d’eau sur l’ensemble de nos processus de production. Par exemple, en 2016, nous avons optimisé le système de nettoyage des installations de production de saucisses de l’usine de Saint-Pol-sur-Ternoise. Ce processus permet une économie globale de 19 000 litres d’eau par jour, ce qui représente la consommation moyenne de près de 130 personnes. En 2022, nous poursuivons nos efforts avec un plan d’investissement qui permettra de réduire la consommation d’eau et d’améliorer les conditions de travail des salariés du site.

Réduire les déchets organiques et limiter les pertes est aussi devenu une de nos priorités. Nous nous attachons à limiter les pertes et à trier nos déchets notamment grâce à des partenariats nous permettant de valoriser les chutes de viande. Nous avons également optimisé notre chaîne logistique en supprimant les emballages plastiques intermédiaires en usine, en optimisant le taux de remplissage des cartons de 15% et en rationalisant les flux de transport entre les sites et les plateformes. Au total, ce sont plus de 2000 camions en moins sur les routes.

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L’Oréal Paris

L’Oréal Paris s’est engagé dans un programme de développement durable ambitieux : « L’Oréal pour le Futur, Parce que notre planète le vaut bien », avec une série de mesures fortes et concrètes à horizon 2030. Avec la volonté de renforcer ses engagements, et fidèle aux ambitions du Groupe L’Oréal, L’Oréal Paris annonce la réduction de son empreinte carbone de 50 % par produit fini d’ici 2030. La marque contribue également à hauteur de 10 millions d’euros à des projets environnementaux dont les bénéficiaires sont des communautés de femmes à travers le monde.

« Il est temps de concilier innovation, développement durable et progrès, afin d’accélérer notre transition vers une économie plus circulaire et de réduire l’impact environnemental de nos produits », a déclaré Delphine Viguier-Hovasse, Directrice Générale de L’Oréal Paris International. « Nous ne partons pas de zéro. Entre 2005 et 2020, nos usines et centres de distribution ont déjà réduit leurs émissions de CO2 de 82 %, leur consommation d’eau de 44 % et leur production de déchets de 35 %. S’il nous reste beaucoup à faire, nous sommes déterminés à changer les choses et à jouer notre rôle dans cette course contre le changement climatique. En tant que première marque de beauté du monde, nous avons le pouvoir et le devoir d’avoir un impact positif sur la planète. »

Pour réduire son impact environnemental, la marque améliore par exemple la biodégradabilité de ses formules et réduit son empreinte eau. Le Masque de Force Full Resist d’Elsève et la Crème de Rasage BarberClub de Men Expert affichent des niveaux de biodégradabilité supérieurs à 94 % ; respectivement 97 % et 94 %.

Pour en savoir plus : https://www.loreal-paris.fr/lamarque/lorealpourlefutur/engagement

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Yoplait

Sur ses sites, notre coopérative cherche continuellement à réduire sa consommation d’énergie et l’empreinte carbone associée par l’amélioration de la performance énergétique et l’intégration de critères environnementaux dans ses choix industriels. Pour cela, nous visons à réduire de 50% l’empreinte carbone de nos usines d’ici 2030.

L’eau, une ressource essentielle pour notre activité, est en tension, menacée notamment par le dérèglement climatique et l’intensification des épisodes de sécheresse. Notre objectif est donc de réduire nos consommations de 40% entre 2019 et 2030.

Par exemple, l’usine Yoplait du Mans réduit sa consommation d’énergie en récupérant la chaleur des machines de production de froid et d’air comprimé pour chauffer l’eau chaude sanitaire utilisée dans les nettoyages. Cela représente une baisse de 6% de la consommation annuelle de gaz naturel de l’usine et une réduction de 260 tonnes de CO2.

Beghin Say

Pour préserver l’environnement, nous limitons notre consommation d’eau, notamment en recyclant 41% de l’eau utilisée dans nos usines.

Nous veillons aussi à limiter les rejets polluants, par exemple en installant une cheminée laveuse de fumée sur le site de Bucy, en Picardie.

Par ailleurs, plus de 50% de l’énergie consommée sur nos sites est produite à partir de la combustion de déchets ; réduisant ainsi de 10% notre consommation énergétique et nos émissions de gaz à effet de serre sur les dix dernières années.

En France, par exemple, nous limitons la pollution en réduisant les kilomètres parcourus grâce à l’utilisation de camions plus gros.

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Saint Louis

Les betteraves sont naturellement composées de 75% d’eau. Cette eau est utilisée dans nos sucreries Saint Louis puis après décantation sert à l’irrigation des champs de nos agriculteurs partenaires proches des sites. Ainsi, ce sont plus de 700 000 m3 d’eau par an qui sont préservés et qui restent dans leur milieu naturel.

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LU

1. Nous appliquons une Charte Qualité et environnement exigeante

La Charte Harmony a pour objectif d’encourager la production de blé de qualité et limiter son impact sur l’environnement et la biodiversité en ne traitant qu’en cas de dernier recours. Elle est composée de pratiques exigeantes qui couvrent l’ensemble des étapes de la culture du blé (sélection des meilleures variétés de blés, choix de la parcelle selon les rotations et type de sol, implantation d’intercultures avec légumineuses…). La charte a été co-construite avec l’ensemble des acteurs de la filière blé, des experts agronomes et des ONG telles que Noé. Chaque année, la charte Harmony est revue et intègre des pratiques toujours plus exigeantes pour un blé plus respectueux de l’environnement.

2 . Nous agissons pour la Biodiversité

70% des fruits et légumes que nous mangeons dépendent des insectes pollinisateurs qui en transportant le pollen de fleur en fleur assurent leur reproduction et donc la production de la plupart des fruits (cerises, melons…) et des légumes (aubergines, haricots..).

Avec Harmony, nous participons à notre échelle, à la préservation de cette biodiversité locale : 3% de la surface des champs de blé sont dédiés à une zone fleurie : elle offre aux abeilles et papillons le pollen et le nectar dont ils ont besoin pour se nourrir.
Nous avons mis en place des indicateurs de biodiversité qui sont suivis chaque année (évolution du nombre d’abeilles domestiques et sauvages, du nombre d’espèces de papillons…) afin de s’assurer du réel impact positif des zones fleuries sur la biodiversité locale.

D’autres pratiques comme la préservation de la biodiversité au niveau du territoire (implantation de nichoirs à abeilles sauvages, d’hôtels à insectes en bordure de champs, de piquets aux alentours des parcelles…) ou des formations sur l’agroforesterie permettent de sensibiliser davantage les agriculteurs à l’intérêt de la préservation de la biodiversité.

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